Face aux revendications étudiantes et aux différentes actions mises en place par ces derniers, DiEM25 apporte son soutien total aux acteurs de la lutte.
En tant qu’étudiants et enseignants du mouvement nous participons activement, à cette lutte pour un vrai choix post bac libre, égalitaire et ouvert à tous.
En tant qu’étudiants et enseignants du mouvement nous participons activement, à cette lutte pour un vrai choix post bac libre, égalitaire et ouvert à tous.
Nous sommes également présents dans les différentes assemblées générales étudiantes et administratives et participons activement aux actions de désobéissances des enseignants chercheurs à fin de connaître au mieux les problématiques et y donner des réponses.
DiEM25 s’oppose formellement au projet de loi d’orientation et de réussite qui, avec sa réforme de l’accès aux études supérieures et Parcoursup, la plate-forme de vœux d’orientation, ne garantit pas l’accès à tous, de manière égalitaire, aux différentes filières post-bac proposées.
Ainsi les prérequis mis en place à l’entrée de l’ensemble du supérieur sont une sélection qui ne dit pas son nom.
D’autre part, la dégradation des conditions d’enseignement de sont pas dignes d’un pays européen qui se veut être un modèle.
Comment peut-on répondre aux revendications de la jeunesse par la mise en place d’une violence policière banalisée ? La démocratie appelle au dialogue et à la construction, non aux gaz lacrymogènes et aux coups de matraque !
L’accès au savoir et à une formation de qualité est un droit. Ne laissons pas ce gouvernement y faire barrage sous des prétextes économiques fallacieux !
Tous unis dans les luttes !
Carpe DiEM
DiEM25 s’oppose formellement au projet de loi d’orientation et de réussite qui, avec sa réforme de l’accès aux études supérieures et Parcoursup, la plate-forme de vœux d’orientation, ne garantit pas l’accès à tous, de manière égalitaire, aux différentes filières post-bac proposées.
Ainsi les prérequis mis en place à l’entrée de l’ensemble du supérieur sont une sélection qui ne dit pas son nom.
D’autre part, la dégradation des conditions d’enseignement de sont pas dignes d’un pays européen qui se veut être un modèle.
Comment peut-on répondre aux revendications de la jeunesse par la mise en place d’une violence policière banalisée ? La démocratie appelle au dialogue et à la construction, non aux gaz lacrymogènes et aux coups de matraque !
L’accès au savoir et à une formation de qualité est un droit. Ne laissons pas ce gouvernement y faire barrage sous des prétextes économiques fallacieux !
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